Alexandra Parrs est une sociologue que la littérature policière a
toujours fascinée, pour son aspect sociologique justement. En
particulier parce que dans cette littérature, se trouvent des réflexions
sociales sous-jacentes très justes, peut-être parce qu’elles ne sont pas,
en apparence, au coeur de l’intrigue criminelle. Elle construit ainsi
ses oeuvres policières à plusieurs niveaux.
Avec la Danse des fantômes aux gros yeux, l’intrigue criminelle
se situe entre la Belgique et la Birmanie, pays dans lequel elle a
séjourné. Elle mêle une nouvelle fois, avec dextérité, une intrigue
policière qui ravira les adeptes de la chose et la plongée de l’intérieur
dans des univers dont elle décrit avec justesse les rouages.
D’abord il y a Bruxelles, un meurtre, une enquête policière menée par
un inspecteur hors-normes.
Des personnalités aux traits bien affirmés.
Des intrigues, rebondissements, révélations...
Puis il y a la Birmanie, la découverte de ce pays.
Une réflexion sur le bouddhisme et la manière dont il influence les
relations sociales birmanes,
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14,00$Prix
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