Lucile, institutrice, décide de tout quitter pour changer de vie. Elle démarre un blog, rêvant de conversations romantiques, et intègre une petite école singulière dans un parc d’attraction. Tandis qu’elle est douce et délicate comme Belle, son directeur est brut comme la Bête.
Cherchant ses repères parmi ses collègues, elle se laisse troubler par le beau photographe du parc et par les yeux verts d’Abel.
Au coeur de ce contraste entre les lettres poétiques qu’elle écrit sur son blog, et la réalité de son métier, Lucile peine à trouver ses marques, jusqu’à ce qu’elle reçoive des lettres d’un autre temps. S’engage alors un échange épistolaire où l’attirance s’installe, intrigante.
Toutefois, l’ombre du passé plane encore sur elle. Sa meilleure amie, Marianne, essuie les foudres de l’ex- compagnon violent de Lucile.
Heureusement, la roue tourne : c’est le fondement de la vie. Lucile tombe amoureuse, découvre l’histoire bouleversante de la fondation du parc. L’amour s’installe, solide, mais une nouvelle épreuve l’amène à se révéler plus forte qu’avant. La maladie de son compagnon sera la clé de leur renaissance.
Ce texte est une véritable exploration intérieure, une plongée dans les sentiments, un message d’espoir. Il parle de chemin de vie, d’amitié, d’hommes qui oublient le respect, de maladie, d’amour et surtout … d’espoir.
L‘AUTEURE :
Qui est Jenny Jénie raconte ?
Jennifer raconte des histoires, parce qu’elle aime écrire et qu’elle a des choses à dire. Elle possède neuf vies comme les chats.
On la surnomme Jenny. Certains disent qu’elle est une fée des bois.
Après son enfance et sa vie d’écolière, son travail de commerçante, sa vie de femme, maman et ses nouvelles études, elle est devenue maîtresse d’école. Désormais, elle ose le dire : elle l’a dans la peau celle qui écrit.
Finalement, cette vie-là a toujours été sa préférée, parce que du jour où elle a su tenir un crayon, elle a raconté des histoires.
Et pour dire vrai, dans toutes ses vies, il y a toujours ce point commun :
Jenny écrit.
Alors Jenny Jénie raconte.