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En voyage d’agrément au pays des pharaons, Maverick – détective privé et globe-trotter –
compte bien se ressourcer le temps d’une croisière sur le Nil. Mais la disparition d’Agata, une journaliste d’investigation italienne rencontrée sur le navire, sonne le glas de ses rêves de farniente…
Au Panama, à des milliers de kilomètres de là, une autre jeune femme disparaît : Vera, n’a plus donné signe de vie depuis son arrivée dans le pays. De quoi susciter l’inquiétude de Consuela, sa tante (et amie de Maverick), qui se lance à sa recherche.Entre le Moyen-Orient et l’Amérique centrales’engage alors une course contre la montre pourretrouver les disparues…

 

4e de couverture :

Une journaliste d’investigation disparaît lors d’une croisière sur le Nil. Une jeune candidate à
l’expatriation se volatilise au Panama. Deux affaires aussi différentes et géographiquement éloignées peuvent-elles être similaires ? C’est en tout cas ce que pensent Maverick et Consuela, tous deux à la recherche des disparues. Débutent alors deux enquêtes distinctes que rien ne semble lier. Rien, sauf un canal, seul point commun entre Égypte et
Panama.
Avec Les filles du canal, Éric Gallorini signe le dixième opus des aventures de Maverick, le détective privé globe-trotter. Une enquête qui fera voyager le lecteur des eaux bleues du Nil aux jungles denses de l’isthme panaméen…

 

Extrait :
Alexandrie… Les abords de la ville étaient envahis de décharges sauvages, les routes en
travaux, la circulation dense, autant de choses qui ne correspondaient pas vraiment aux
paroles d’Alexandrie, Alexandra, la chanson de Claude François, qui me trottaient dans la tête
depuis notre départ du Caire. Des rues sales et poussiéreuses bordées par des immeubles bas,
dont certains, construits en dépit du bon sens, penchaient dangereusement. Mais une ambiance différente de celle de la capitale qui donnait envie d’explorer ces quartiers où se côtoyaient vendeurs de pastèques et artisans, vieillards usés et ânes tirant des charrettes surchargées que frôlaient, en klaxonnant, une multitude de taxis jaunes et noirs. Une première approche de la ville qui ne semblait pas émouvoir Agata et Bianca, amusées par le désordre qui régnait tout autour de nous. Pas plus que cela ne perturbait notre guide, Ibrahim, bien décidé à respecter le programme prévu pour la journée. Un planning qui débutait par une visite du site des catacombes Kom El Shoqafa, un site archéologique historique considéré comme l’une des sept merveilles du Moyen Âge. Une nécropole constituée d’une série de tombeaux alexandrins, de statues et d’objets archéologiques du culte des funérailles pharaoniques qui enchanta Bianca, ravie de se faire peur en descendant sous terre. Un comportement qui me fit sourire, rassuré qu’elle ait gardé son âme de petite fille.

 

L'AUTEUR

 

Globe-trotter dans l’âme, Éric Gallorini aime délaisser sa Côte d’Azur natale pour assouvir sa soif de voyages. D’un continent à un autre, escales, découvertes et rencontres, vont transformer le voyageur passionné en auteur. Ses romans, inspirés de sa propre expérience du
voyage, sont appréciés par la communauté des voyageurs qui, au fil de ses écrits, revivent un peu de leurs propres aventures.

 

LES FILLES DU CANAL - Éric Gallorini

23,00$Prix
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