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. - "Trystan, chéri, mon amour de ma vie, on ne peut pas rester ici, si l'armée nous trouve on va avoir - "Je sais chéri... - "ALORS POURQUOI CHUI' EN PRISON !?!?!?" - "..."

appris et qu'il est aujourd'hui en mesure de transmettre mieux qu'un sachant - qui serait peut-être sinon Sinon, oubliez-les. Numéro quatre Vouloir faire trop long. Sinon les éditeurs ne seront pas intéressés, car investir dans un livre représente un gros budget.

, à l’automne, on comprendra la pauvreté de ce trésor et le vent viendra graver sur nos visages les sillons

fait partie de la première génération de féministes où on adorait Françoise Giroud et où on adulait Simone

Je me suis questionnée sur les conséquences qu’ont les choix de nos aïeux sur nos propres vies. Editions Spinelle et Le Croustilleur de Versailles aux Editions de l'An-Vi, ainsi que deux romans : La Chair

Jean Cocteau- puis en 2022 par la Société des Poètes Français -prix François Victor Hugo- Madame Simone

Il tient une bouteille, regarde vers le fond du chai, là où se trouvent les mains qui commencent à frémir Pas le moindre cri. Sa bouche est ouverte en surprise maximale. Le fil cisaille la glotte, ronge les chairs vénérables. Porte du chai, longue haie de buis, potager, poulailler.

Je suis aujourd’hui maman de deux autres enfants que je chéris du plus profond de mon être. À Sandrine Mehrez Kukurudz pour son choix de publier ce texte dans la communauté des auteurs francophones

On peut par exemple avoir fait le choix de naître dans une famille, un environnement difficile qui au Il sera alors nécessaire de faire des choix qui ne seront pas toujours compris par notre entourage dont Il sera nécessaire au travers de ces choix de passer à autre chose et à laisser derrière soi un monde et des personnes que l’on aime mais qui n’approuvent pas ces choix. Ce sont simplement des épreuves supplémentaires qui doivent vous conforter dans ce choix de vie.

Les spectateurs se lèvent, nous acclament d’une voix unique qui nous donne la chair de poule. Dans ma chair, j’ai ressenti le souffle de la salle suspendue à mes lèvres, totalement pénétrée de ce

Voies faites de sillons tortueux au bord desquels l’on se retrouve un jour, au hasard des parchemeins L’écriture se fait cri et s’élance, forces démultipliées, telle une vague qui, en se brisant, dévoile

D'abord, bien sûr, mon titre est sinon mensonger, du moins quelque peu réducteur : quand on parle d'écrire